Qui sommes-nous?

Le concept de kiiz remonte à 2015. A l'époque, les professionnels de l’immobilier eux-mêmes s’interrogent sur la pertinence de leur modèle d'affaires. La commission au pourcentage (3% à 5%) est au centre de leurs réflexions. Combien de temps pourra-t-on encore justifier de facturer aux propriétaires des montants si élevés, sans relation avec les prestations fournies? Inspirée par ce qui se fait déjà à l'étranger, l’idée naît d'abandonner la commission pour passer au forfait. Un business plan est élaboré. Le coup paraît jouable. La principale difficulté est vite identifiée: la réticence des courtiers traditionnels à renoncer à la poule aux oeufs d'or.


Finalement, Marc Comina, l’ancien secrétaire général de l’antenne romande de l’Association suisse de l’économie immobilière (SVIT Romandie), se lance dans l’aventure, emmenant avec lui d’autres professionnels de l’immobilier et une équipe de spécialistes pluridisciplinaires. Tous sont convaincus qu’il y a une place pour un service de qualité à un prix juste.


En juin 2018, kiiz entre sur le marché. L'idée est simple: ouvrir une agence immobilière où les propriétaires bénéficient de toutes les prestations du courtage classique, mais à un moindre coût, c'est-à-dire pour un montant forfaitaire de Fr. 9500.- HT.


Depuis sa création, des centaines de propriétaires ont fait appel à kiiz pour la vente de leur maison ou de leur appartement.


Grâce à qui?

En parallèle, la commission est partout sous pression. Aujourd'hui, les courtiers qui fonctionnent encore sur l'ancien modèle doivent faire des concessions. Une commission entre 2% et 2,5% est devenue la norme. Dans trois à cinq ans, elle sera entre 1,5% et 2%. A terme, une commission de 1% devrait devenir le nouveau standard des courtiers traditionnels.


Autrement dit, l’arrivée des courtiers au forfait a rebattu les cartes. Il règne désormais une saine concurrence. Un marché longtemps distordu retrouve des bases saines. C’est bon pour l’image des professionnels de l’immobilier et c’est bon pour les propriétaires qui n’ont plus à payer des commissions astronomiques.


Au final, les grands gagnants de cette mutation en profondeur du courtage immobilier sont les propriétaires qui, depuis l'arrivée sur le marché du modèle au forfait, font des économies substantielles, soit parce qu'ils choisissent de travailler avec une agence comme kiiz, soit parce qu'ils réussissent à négocier la commission à la baisse.


Kiiz? Kizz? Quiz? Quäse?

Mais au fait, que veut dire «kiiz»? La prononciation française du mot «kiiz» correspond au mot anglais «keys», qui signifie tout simplement les «clés».


Vendre une maison, c’est en remettre les clés à un nouveau propriétaire. Pour nous, les clés, ce sont aussi celles de la liberté, à savoir celles qui permettent de libérer les propriétaires des commissions de courtage, avec pour conséquence des dizaines de milliers de francs d’économies. Voilà pourquoi nous avons choisi ce nom.

Notre équipe

Directrice des Ventes

Mélanie Clerc
Directrice des Ventes

Courtière Valais/Chablais

Carine Corvaglia
Courtière Valais/Chablais

Cofondateur, Chairman

Marc Comina
Cofondateur, Président

Biljana Zimmermann
Courtière Jura

Swen Zapla
Courtier Fribourg

Photographe

Giovanni Antonelli
Photographe

Photographe

Luca Gemignani
Photographe

Cofondateur, Chairman

Pascal Mancuso
CFO, Administrateur

Nos conseils pour vendre votre maison sans tomber dans les pièges du courtage immobilier.

Nos conseils
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Nos réponses aux propriétaires

Tous les propriétaires se posent les mêmes questions. Sur la base des expériences accumulées sur le terrain depuis 2018, nous fournissons ici les réponses aux légitimes interrogations de ceux qui ont l'intention de mettre leur bien en vente.

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Ne pas attendre en vain le «bon moment»

Vaut-il mieux mettre en vente sa maison au printemps ou en automne ? Cette année ou l’année prochaine ? Notre réponse à une question qui revient souvent.

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Ne pas vendre seul

Pourquoi mandater un courtier? La question était légitime à l'époque où il n'existait pas d'alternative aux commissions salées des courtiers. Elle ne l'est plus aujourd'hui. Nos explications.

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Ne pas croire au «carnet d’adresses»

«J'ai des acheteurs pour votre bien, venez chez moi!» C'est une promesse récurrente dans la bouche des courtiers. Que vaut-elle? Rien. Nos explications.

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Ne pas craindre le mandat exclusif

L'idée paraît logique: donner sa maison à vendre à trois courtiers pour avoir trois fois plus de chances de trouver un acheteur. Pourtant, c’est une fausse piste. Explications.

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Profiter de l'intelligence statistique

S'il y a un virage qu'il ne faut pas rater, c'est le premier, à savoir la fixation du prix de mise en vente de votre maison. Etape délicate qu'il faut franchir avec le soutien des statistiques, l'aide d'un courtier expérimenté - et du bon sens.

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Savoir écouter le marché

Vendre au meilleur prix est à la portée de tous les propriétaires, à deux conditions: 1) choisir le bon courtier et 2) savoir écouter le marché. Nos explications.

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Ne pas croire qu'il suffit d'attendre

Combien de temps pour vendre? Il n'y a pas de réponse scientifique à cette question. Dans tous les cas, la gestion du temps est un facteur-clé d'une vente réussie. Nos explications

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Ne pas miser sur Photoshop

Ce qui est beau se vend mieux. Alors pourquoi ne pas embellir un peu les photos de votre bien pour le rendre encore plus attractif? Erreur de débutant! Nos explications.

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Visites: viser la qualité pas la quantité

Multiplier les visites n'est pas un but en soi. Ce qui compte, ce sont les visites réalisées avec des personnes réellement intéressées. Pour y arriver, il y a une méthode. Nos explications.